« Notre must ? Des boulettes veggie maison
à base de pois chiches et des currys au lait
de coco et aux légumes variés. »
AU QUOTIDIEN
Georgiana : « Lorsque nous
recevons des gens, nous leur
proposons des plats
végétariens. C’est une bonne
occasion de les initier à de
nouvelles recettes. Ils adorent !
Et quand nous sommes invités,
nous nous adaptons. Bonus
supplémentaire : acheter moins
de viande, ça coûte moins
cher ! Sur le long terme, nous
sentons vraiment la
différence. »
Jeremy : « Nous allons courir
3 fois par semaine, et notre
conversion au végétarisme n’a
eu aucune influence négative
sur notre endurance. C’est
même plutôt l’inverse ! Nous
récupérons assez rapidement. »
NOTRE SAVOIR-FAIRE SE DÉGUSTE AVEC SAGESSE.
Végé, flexi, végane…
Quelles différences ?
Un végétarien
ne consomme aucun animal
(viande ou poisson).
Un végétalien
exclut en plus tous les aliments
qui sont produits par des animaux
(miel, lait, œufs…).
Un flexitarien
alterne des périodes de végétarisme
avec des périodes omnivores.
Un végane
ne consomme aucun produit d’origine animale, produits alimentaires
mais aussi ceux d’utilisation courante (cuir…).
Un pesco-végétarien
exclut la viande de son alimentation,
mais pas le poisson.
Le trio
gagnant
Les protéines végétales ne
contiennent pas tous les acides
aminés essentiels,
contrairement aux protéines
animales. Pour satisfaire vos
besoins et éviter les carences,
il est donc important d’associer
dans un même repas des
céréales (pâtes, boulgour, riz,
quinoa, semoule…), des
légumineuses (lentilles, pois
chiches, haricots rouges et
blancs, flageolets, pois cassés…)
et des légumes et ce, au moins
une fois par jour.
Carrefour Food Magazine | mars 2021
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